Aadel Collection
European Parliament — Report of Proceedings — Wednesday 17 September 1980
EUROPEAN PARLLAMENT - Report of Proceedings - Wednesday 17 September 1980 1:10 Le l'r&sident. — Jo ‘eiIlerai i/ c&, quo co texte soil. clisponible Ic plus rapidenmut possible. Ii n'y a pas dautrcs observations ? Le proc 's-verbaI est adopté. )l1t,dia 1 ,,e do1 t flIelI ter (iTl(1gt Volt 11? it, ir i s I)ocs , 711('IIIS r('co,v( (1 I)epot do (1000 10 flI Pn ws,inzioue (it (i0C!IIfl(ItI, I?t/Zf '(Iiell(I(' ( 1 0(01 1 1tH let! Le Pr sidenl. Jal recu divers ditcuinenis, Vials en lrouvere; la lisle dans li I)roc s—vcrbal. lfgØrel.ce (Jill tl(lI)sfltl(.I,/ ' forltult(iItIig Jkscl,1 ,ii ii bs .r di ' I)riii gIie1i 1 -nt l)eeisinn t,:i urgency I)tej jo,i. stir J)ecisioizt' suil'urgoll (z Urgen tverh!rtri,tg Do Voorzitter. — Aan do orde Run verschillende vcrziieken orn urgcntverklarinj over vCrvo!- J qi.ng van do loden van do flahais lit Iran, zij.n f twee ontwcrp-rcsoluties ingedicod — van do hoer Ponders ca. (clue. i-39/8 ) — van do heron Lalor en Israel, namens -do Fractlo van Enropese dcniocral.tn voor do vooruitgang ; IQlep ch, namons do Fractie van do Europese Volkspartij (Ch tisten—democra— tische Fi'in'tie) on Scott—T [ opldns , narnons do Euro 1 )( se Deirineratische Fractic (due. 1—397/ 80). Ontwcrp-rcsolutie (doc. l- 3 72/8fl/iev.) is inge.. trok ken. Leur sujet étant commun, je propose quo l'ur— genre de ces deux propositions suit soumise It Un soul vote. La parole est a M. Glinne. M. Glinne. — Jo voudrais faire observer qu'il existe — qu'il oxistait en tout cas liicr — Ufl consensus .sur on toxto commun qui comportait Ia participation do mon groupe ; or, je no le Vt)iS pa rnentionné. 24? l)e Voorzitter. — — Dat is do lckst van do heron Klepsch, l.alor cs. ? M. Glinne. —- Mais aucune rélérence n'est faite an Groupe scialiste ni It d'autres groupes qui étaient d'accord. Je crois quo nous n'avons pas Ia bonne version du texte final. I)e Voorzilter. — Do Socialistische Fractic wenst (Ins die resoliit itS incde to ondertekerten. Wij no— men daar akto van, rnijnheer Glinne. II ot wooi- I i . nan do hoer Klepsch. Klcpsrh. — - lilt möehte nor den Ent.schliellungs— antrag Ponili -rs zugunsten des gernoinsamen ‘ [ ‘ext s zururl sit-hen. lIe Voorzifler. — - 1)at maakt do zaak nog eon— vi ud it er. l)o oh twerp— re'.olutie—Penders is dos iin et rokkon i-it do hoer Glinne wenst dat duide— Iijk vordt vet-meld dat zijn fractie rich aansluit bij do algon lint- ontwerp—resolutie (doe. 1—397/ lIt)). Hot wooid is ann do hoer Bangemann. l langernnnn. Herr Präsident! Das scheint cm Morgon der ltchnischen Pannen zu werden. Urn abet- Herrn Pannella und Frau Bonino zu beru- higen, damit sic nicht den Eindruck bekommen, Sic würdt -n hinr politisch verfolgt und wir mullIon dc'mithchst omen Dringlichkeitsantrag .‘.t, ibren c;mt len einreichen, möcht.e ich darauf hinweiscn, dalI auch die Liberale Fraktion in dem Entsch lit .f ungsantrag zur Verfolgung der Angehörigon dir ]3aha'is-Religionsgerneinschaft nicht anfgeliilirl ist., obwohl auch wir uns an den Arbeit.cti beteiligt haben und diesen Ent- schiiellungsanti-ag unterstUtzen. Ich bitte das oiitsprechond so ergiinzen. Do Voortitter. 1k nt-em met vreugde kennis van do goodwill van do hoer l3angemann die zich otik bij do rt -solutj (doe. 1—397/80) wenst aan to sluiten. Hot woord is nan do hoer Lalor. Mr Lalor. — Mr President, I had understood (I was not involved personally in the negotia- tions) that there was unanimity on Resolu- tion 397, and I was rather surprised, coming in here, to find that agreement had been reached to withdraw it. I understood that the Socialis and the Liberals wet-c associated with R olu— lion 397 and that we had full agreement on this. / lIe Voorzitter. — I-lot woord is aan de hoer Chambeiron. Hit BP000431
* M. Chambeiron. — Monsieur le Président, Jo no parlerai pas du consensus, paice que mes amis cornrnunistcs et apparentéS français no paitici— pent pas a cc consensus. Ce quo je voudrais faire observer, c'est qu'il semble quo se confir- me et memo Se renforce la tradition qui veut qu'à chaquc période do session, cette assemblCc se saisisse de violations des ciroits de l'homrne qui sont ou qui pourraicnt être 000imiseS quo!- que part dans le monde. Cette volonté de transformer noire assembléc en une institution chargCc de distiibuer tantOt l'eloge, tantôt le blame, en vertu do critCres sélectifs évidents, me conduit a rappeler a nou- veau l'attitude constante ct do l)riflciPe des communistes et apparentCs français. Nous esti- mons quo cette assemblée n'est pas compétente pour s'ériger en tribunal des aflaires du monde. Nous constatons d'ailleurs que, dans Ia plupart des cas, derriere une volonté aFfichCe de dé- fendre los droits de l'homme so dissimule un dessein moms avoiiable, qui n'est p s de servir los droits de l'hornme, mais do son servir pour des operations do politique subalteine. Les au- tours — certains des auteurs en tout eas — dc Ia proposition do rCsoli.vtion sur I'iran seraient a nos yeux plus crCdibles s'ils n'avaient, dans I c passé, observe un étrange silence sur los cri- mes perpCtrés par l'ancien Chah it son régime, ce en quoi us ne faisaient d'ailleuis quo suivre l'exemple des gouvernements do Ia piupart des pays do Ia Communauté. Certains signataires semblent avoir oublié l'Cpoque, cependant en- core trés proche, oü ils s'extasiaient bruyam- ment devant los cérémoflies fast uouses organ!- sees par lancien bourreau de TC'héraa, cepen- dant que des milliers •de prisonniers politiques gémissaient et mouraient sous Ia torture dans les prisons do la SAVAC. A propos du Chili, qu'il me soit permis de rap- peler Cgalement clue, depuis l'assassinat du pie- sident Allende, mes amis et moi n'avons cessé d'alerter l'opinion sur les crimes de Pinochet et do son régime et de mobiliser los démocrates pour isoler une dictature qui a plongé I c peuple chilien dans la violence ct l'obscurantisme. Et cc que nous faisons depuis sept années, nous Ic poursuivrons sans désemparer. Nous ne ces- serons de dénoncer tous los gouvernements, y compris Ic nétre, qui, par Ia fourniture de maté- ne! militaire, contribuent a renforcer Ic régime dictatorial et an tidCmocratique do Santiago. Une fois do plus, nous constatons quo cette as- semblée est utilisée comme un alibi démocrati- que pour disculper do leurs responsabilités, des gouvernements avec la politique desqucis certai- nes formations de cette assemblée sont entiCre- mont solidaires dons leurs pay tcspectifs. Jo 249 rappelle, enfin, quo des violations des droits de l'homme, II en existe au scm des pays de la CommunautC; dans un memo temps, la majo- rite de cette assemblée so refuse a en discuter et a tout mis en uvre pour empêcher que vienne en discussion la proposition do resolution déposée par mon collègue, M. Marchais... (Protestations - Applaudisse7nents a l'extrême- gauche) Le Président. -— Pour ic moment, ii ne s'agit que de dire si vous êtes pour ou contre i'ur- genee. Nous ne sommes pas encore rau débat. M. Chambeiron. — ... Je suis centre 1'.ürgence, parce que nous refusons a cetrte assemblée la prétentien dc s'arroger des droits que le T.raité ne lui reconnait pas. Nous nous abstiendrons de pai'iiciper au vote sur .l'urgonce, do memo qu'C l.a discussion qui peurrait en découler. Do Voorzitter. — 1k brong hot verzoek om urgent erkFaring in stemming. Hot verzoek is aangenomen. Het dobat zal op do agenda van vrijdrag 19 sep- tember as. worden geplaatst. * Do Voorzittcr. —- Wij gaan over tort do ontwerp- resolutie Castle en Lomas, namens do Soda- listische Fractie (doc. 1-378/80): Schending van do ,nensenrcchten in Chili. Hot woord is ann do hoer Klepseh. Klepsch. — Herr Präsident! Ich bin etwas ver- wundert über den uns vorliegenden Ent- schilieuiungsantrag mit Driniglichkeit, denn man hatte uns g.esagt, •er würde überarbeitet und vollig verfin dei't wooden. In dci vorliegenden Form kann ich die Dringlichkeit für den Antrag von Frau Castle und anderen nicht bejahen, da wii nicht meinen, dull das Plenum sich mit Fragen auscinandersetzen soll, die vielleichi im Poliitischen Ausschull erörtert weziden könn ten. Wir haben hier nicht zu zensieren, was die britischc Regicrung vor dom Urnterhaus sagt. Ich mochte ouch emma! wiederholen, Herr Prä- sitlent, man hatto uns gesagt, man würde den Antrag völlig überarbciten und in einer für die übrigen Fraktioncn annehmbaren Fassung von- logen; dos ist aber nichI. geachohen. Deshaib kann ich dic Dringl !chkeit nicht •bojahen. JJ 0 Voorzilter. —•- Hot woerd is ann do hoer Glinno. 250 137 I / /